Infographie : les modèles d'affaires de la restauration en transition

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Face au contexte pandémique, plusieurs questions se sont posées et demeurent : de quoi sera faite la restauration de demain et comment les restaurateurs indépendants s’adapteront-ils pour surmonter ces difficultés ? Une infographie inspirée d'une étude des chercheurs Robert Laporte et coll. procurent quelques réponses.

Depuis la pandémie, bon nombre de restaurants du Québec ont fermé leurs portes tandis que plusieurs autres ont été appelés à faire face à beaucoup d’incertitude. Face à ce contexte, plusieurs questions se sont posées et demeurent : de quoi sera faite la restauration de demain et comment les restaurateurs indépendants s’adapteront-ils pour surmonter ces difficultés ? Comment les restaurateurs peuvent-ils innover dans leurs modèles d'affaires pour faire face à ce contexte et assurer le futur de leurs entreprises ? Une étude menée par Robert Laporte, professeur-chercheur (ITHQ), Nelson Théberge (ITHQ, GastronomiQc Lab) et Sophie Veilleux (U. Laval, GastronomiQc Lab) s'est penchée sur le sujet et nous apporte quelques éléments de réponse entourant la transformation des modèles d'affaires en restauration indépendante. 

Découvrez quelques-uns des grands constats de cette recherche dans cette infographie. 

 

Infographie : les modèles d'affaires de la restauration en transformation

Cliquez ici pour visionner l'infographie en format pdf. 

Comme le démontre cette image, dans le modèle traditionnel, le restaurateur agit comme le seul responsable des décisions qui oriente le futur de l’entreprise, alors que dans le modèle actuel, il doit faire partie de l’équipe et joindre ses compétences à celles de son équipe, afin d’optimiser la création de valeur pour le client et pour l’entreprise.

Cliquez ici pour visionner une vidéo pour aller plus en profondeur dans cette étude sur L'adaptation des modèles d'affaires en restauration

Pour lire la lettre d'opinion de Robert Laporte et Nelson Théberge, parue dans LaPresse le 31 janvier, cliquez ici : La restauration à petit feu, c’est assez ! - La Presse+